Le dernier film de Pierre Salvatori « De vrais mensonges » nous invite au tourbillon intime de la contrefaçon. Le billet trouvé dans la poche d’un personnage, avec la mention « Je sais qui vous êtes, je veux qui vous êtes ! » n’a plus de sens si on l’applique à la politique où le « festival de faux pour le vrai et de vrai pour le faux » nous fait la nique.