mardi 21 septembre 2010

> la pilule des surlendemains qui chantent



 
Vous connaissez la pilule des surlendemains qui chantent
L'ObiOne Kenobi 30mg gagne à être connue.
Une bagarre intense a vu le jour quand la demande a été faite à la caisse très primaire d'assurance maladies politiques de la rembourser à 65%.





Chacun de nous a eu l'occasion de vérifier que les rapports à risque empoisonnent la vie politique française, que des réformes non désirées se sont succédées depuis 2007, parce que nous n'étions pas protégés.



Si tous les Français sont exposés au problème, seulement les plus vieux utilisent les anciennes méthodes de rejet, les plus jeunes n'étant pas conscients du risque.



« Nous avons un très haut niveau d'information de masse, mais chacun ne se l'approprie pas pour lui-même" dit ce spécialiste.



Cette pilule des surlendemains qui chantent s'ajoute à la petite panoplie à l'usage de ceux qui résistent. Comme une poire pour la soif.



Elle peut agir jusqu’à 5 ans après des rapports non protégés avec une législature désastreuse, soit un délai d’action bien plus important que la précédente, que les français prenaient peu, pensant qu'en fermant les yeux, la pilule politique qu'ils avaient prise ne laisserait pas de trace. C'est un problème de Constitution.



Il est d'ailleurs étonnant de lire les résultats d'une étude qui tend à montrer que 50% des français croient qu'ils ne peuvent se faire engrosser au milieu d'un cycle parlementaire. La réforme des retraites vient nous donner l'information inverse.



La pilule des surlendemains qui chantent retarde l'ovulation des idées du pouvoir en place mais aussi celles du principal syndicat patronal (ils sont comme cul et chemise) ou les bloque.



Bien entendu, son action est d’empêcher une grossesse nerveuse non désirée liée à un rapport au politique non protégé à risque. Y compris après la rupture d'un préservatif législatif.



Mais en aucun cas cette pilule ne vous protège contre la mauvaise foi.



Distribution massive le 23 septembre 2010, dans les rues de France. Sans ordonnance.



C'est une « seconde chance à saisir au plus vite ».

Incontinents s'abstenir.



++

> tout rapprochement avec ceci  ou ceci  ne serait que pure coïncidence dans cette actualité contemporaine qui ne nous protège pas. 


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